Du crépuscule à l'aube

Lorsque je vis mon avant dernière demeure pour la première fois, je ne pus m'empêcher de la détailler. Les murs étaient vides, blanchâtres, le carrelage immaculé et l'unique meuble de la pièce scintillait légèrement sous la seule source de lumière. Puis, la pénombre nous avala de nouveau.
De toutes mes sœurs, j'étais le plus grand, le plus fort, le plus imposant...et le seul garçon. Ma famille était en permanence serrée contre moi, formant plusieurs cercles.
Nous évitions de penser au futur, à notre destin que nous savions inévitable désormais. Nous allions mourir, un par un. On m'arracherait mes semblables peu à peu, sans que je ne puisses réagir. Jusque là, je les rassurais, leur parlais, essayais de leur faire oublier notre condition.
Notre soleil éphémère se remit à briller plus tard dans la journée. Non, de grâce, pas déjà ! Laissez nous encore quelques minutes, quelques instants, je vous en pris ! Mais le Monstre ne semblait pas nous entendre. Assis sur le meuble, il tourna son visage vers nous et tendit sa main. Nous étions tel Ulysse face au cyclope, à voir la souffrance et la mort s'approcher de nous. Mes sœurs se serrent entre elles et commencent à sangloter. Elles tentent de se rassurer mais tout cela est vain. Je me crispe à l'entente de la chair qui se déchire dans un bruit atroce. Deux, trois...cinq de mes sœurs sont emmenées. Elles hurlent, elles crient grâce et implorent dans la main du Monstre qui les serre et les broie. Il les tourmente, les blesse, les humilie impitoyablement avec un sourire satisfait. Que cela s'arrête ! Mettez fin à leur souffrance, je vous en pris !
Enfin, le monstre daigne les achever. Leurs corps meurtri et souillé tombe lentement dans l'eau claire qui les engloutie tel des pétales de fleure dans le ruisseau. Elles disparaissent dans un bruit de tonnerre et la nuit nous revient.
Pourquoi ? Pourquoi tant de cruauté ? Qu'avons nous fais de mal ? Qu'on nous le dise ! N'y a-t-il aucun moyen pour nous d'obtenir la rédemption ?! Sommes nous seulement voué à cet insupportable destin ? De quel crime nous sommes nous rendu coupables ? Pourquoi ? Pourquoi ?! Pourquoi...
Au fil des illuminations de notre demeure silencieuse, mes sœurs moururent martyres. Le Monstre les exécutait sans un mot, sans une excuse, parfois sans même un regard. Il pouvait surgir n'importe quand, même en pleine nuit. Et moi, j'endurais tous cela sans un seul gémissement, souhaitant intérieurement que mon tour vienne bientôt pour qu'enfin mon agonie cesse.
Ça y est. Le jour est venu. Le monstre venait de rendre à la terre mes dernières sœurs et il ne restait que moi qui pendait lamentablement au mur. Il me saisit. Je me prépare mentalement à la douleur mais rien ne vient. Il m'emmène. La lumière du soleil m’éblouis un instant et je revois brièvement le paysage que j'avais pu observer le jour où nous fûmes emmenés, encore réunis, dans notre couloir de la mort, il n'y a pas si longtemps. Mais cela est de courte durée et je suis précipité vers un gouffre. Je heurte pitoyablement le fond de cet abîme où règnent une odeur insoutenable. Ainsi, tel sera mon châtiment ? N'ai-je donc point encore assez souffert pour obtenir l'apaisement? Qu'on m'achève, de grâce !
Mais ne m'entend. Nul ne m'a jamais entendu et nul ne m'entendra jamais. C'est de cette manière que les choses sont faites et on ne peut faire autrement.
Après tout, tel est le destin...
…
…
…
…
…
…
…
...d'un rouleau de papier toilette.

Fin

Je ne suis qu’un simple outil, je pourrai que j’ai une vie passionnante, que j’ai un grand but dans la vie, mais il n’en est rien autant dire la vérité tout de suite, j’ai été sans aucun but précis autre que d’être utiliser par ces grandes créatures appeler humain, mon utilité dépend uniquement de celui qui m’utilise, elle n’est pas fixe.

J’ai été utilisé de diverses façons, certains humains plus primitifs que d’autres m’ont blessé avec leur mâchoires et ceux malgré ma solidité, ou bien ils ont fracassé mon corps contre de nombreuses, pierres, roche, bois, métal et tant d’autres, ils ne se rendent pas compte de ma fragilité, mais bien que j’en sois conscient je n’en ressens rien, je suis incapable de bouger volontairement, de parler ou de faire quoique ce soit d’autre que ces créatures qui me manipule font.

J’ai également été utilisé par des êtres ayant l’air plus noble que d’autre, ces derniers ayant utilisé mon sang bleu pour faire d’étranges symboles, petit ou grands ou d’autres formes étranges dont je ne comprend pas l’intérêt, cependant certains avaient l’air content en faisant certaines formes d’autres en revanche étaient mécontents et faisait disparaître la trace qu’ils avaient fait avec mon sang et parfois avec le sang d’autres de mes semblables qui n’avait pas le même sang que le mien cependant.

On gaspille ce qui est en parfois pour rien du tout, mais ma vie ne se résume pas majoritairement à cela, la plupart du temps je suis plongé dans les ténèbres avec à mec côté quelques un de mes semblables, mais également d’autres être inertes comme moi mais ne me ressemblant pas du tout, nous ne voyons la lumière que rarement et je ne sais pas si je dois m’estimer heureux ou non d’être celui qui voit la lumière extérieur le plus souvent.

La vérité est que d’un certain cela ne m’enchante guère il y’avait un autre de mes semblables qui avait un sang identique au mien, c’est lui que l’humain faisait sortir le plus souvent mais un jour il est ressorti et n’est jamais revenu, et quand je suis sorti j’ai vu ces humains mettre mes semblables complètement vidé dans une étrange bassine noire, en voyant cela je sais que cela m’arrivera un jour mais quand je l’ignore, probablement bientôt.

Mon sang arrive à épuisement le jeune humain qui m’utilise vient de s’exclamer : « Zut ! Mon stylo n’a plus d’encre. ». Stylo, encre ? J’ignore ce qu’il entend par là, il m’a mit sur le côté, j’attends actuellement en ignorant ce qu’il compte faire de moi.

Infiltration


« John ?? Tu m’entend ?
- Parfaitement ; qu’y a t’il ?
- Tu est bientôt a ton poste ?
- J’y suis encore loin, le couloir et les conduits sont truffé de piège, sans parler des nombreux gardes qui patrouille régulièrement.
- Ou en sont Tatsuki et Amachi ?
- Pas de nouvelle de Tatsuki et Amachi est à son poste, plus aucune communication possible avec elle, sinon la Stria va la repérer rapidement ; comme si sont poste n’était pas déjà le plus dangereux.
- C’est une élite, elle s’en sortira.
- Je l’espère. Que fait ton pour Tatsuki ?
- Il faut aller voir, c’est un élément clé dans se plan. Je m’y rend immédiatement, pendant se temps essaye de gagner ton poste au plus vite.
- Bien, chef… »

Décembre 2010, un jour d’hiver froid, dans un entrepôt perdue la plus grand mission d’infiltration à lieu, pour mettre a jour les activité de la Stria suspecter de pratiquer des expérience afin de développé des armes surpuissante ; il faudra les éliminer par la suite. Quatre personne on été choisi pour cette mission ; des élites dans l’élite, et il y a moi ; modeste objet accompagnant Mik dans cette périlleuse mission au aucun faux pas n’est permit. Apprenant qu’il n y a plus de nouvelle de Tatsuki, Mik grimpe par la force de ses bras dans le conduit qui lui permettra de se rendre dans la section ou Tatsuki devais se trouver. Il parvint dans la section 5 avec quelque difficulté, sa carrure ne le permettant pas de se traîner dans les conduit à sont bon vouloir. Il commença sa lente progression avec toute les précaution pour ne pas se faire découvrire par la Stria, de nombreux piège était disposé tout le long de son parcoure, telle que des mines, des caméras et de nombreux autre piège fatal, heureusement que dans cette section pas ou peut de garde circulais sinon nous n’aurions jamais put atteindre l’objectif voulu. Après vingt minutes à éviter de nous faire repérer je transmis a Mik :
« Chef, j’arrive bientôt a mon poste, ou en êtes vous ?
- Je me rapproche de se qui semblerais être le laboratoires expérimental.
- Il faudrait faire au plus vite, si nous restons encore trop longtemps il vont finir par nous repérer.
- Ne t’inquiète pas. Rejoins ton poste je m’occupe de tout.
- Bien, chef. »
A peine il coupa la transmission que deux homme se fis entendre au loin :
« Dépêche toi, j’ai entendue du bruit là-bas, se n’est pas normale !! »
Mik se précipita de l’autre côté de l’angle pour être à l’abri des regards des deux gardes. Il passa malencontreusement devant une des caméra… l’alarme se déclencha. Le son sourd et bruyant résonna dans tout l’étage, les voyants rouge colorant les couloire. Se rendant compte de son erreur Mik parti au plus vite, se dirigeant au pif dans le labyrinthe que formais les nombreux couloirs. Je transmis les paroles de John :
« Chef !! L’alarme à été déclencher dans un des étages proche de ma position.
- Je sais, c’est moi qui l’ai déclencher… commencer le plan, soit on réussi, soit on va tous être tué à cause de mon inadvertance.
- Etes vous sur qu’il faut lancé le plan ??
- Bien sur !! J’ai été repérer, il ne vont pas tarder a vous voir de toute façon, au temps tenté quelque chose.
- Laisse nous un délai !
- D’accord, mais pas plus de 5 minutes.
- Merci. »
Mik passa une porte et s’arrêta net. Un fossé se tenais devant nous, au pente glissante et légèrement abrupt. Un vois grave se fit entendre dans notre dos :
« Arrête toi tout de suite et ne dégaine pas ton arme si tu ne veux pas mourir.
- Vous aller me tuer de toute façons, répondit Mik toujours calme.
- C’est vrai, mais quelque minutes de plus ne te fond pas envie ?
- …
- Retourne toi !! Dit violemment l’homme. »
Mik se retourna lentement, les mains en évidence. Une escouade se tenais devant nous, une dizaine d’homme au total. Le chef de l’escouade ordonna à ses homme de dénudé Mik de toute arme et objet, et un d’eux tien fermement Mik. Un des homme me serra fort dans sa main. Je transmis à nouveau les paroles de Jhon :
« Chef ??… Mik ? Vous êtes là ? »
Le chef fit un large sourire, sur un geste de sa main, l’homme qui tenais Mik l’empêcha de prononcé tout mot. Il m’attrapa fermement et appuya sur le bouton de communication et il m’approcha de sa bouche pour répondre a Jhon, il prit une voix faible et pathétique :
« Je…je suis là.
- Sa va ? Votre voix est bizarre.
- Je me suis…fait attrapé… je me vide de mon sang.
- La Sinra est avec vous ?
- Non, il mon enfermé et me laisse…mourir a petit feux.
- Tu veux toujours que l’on lance l’opération ??
- Ou est votre…position ?
- Je suis a mon poste comme Amachi et toujours pas de nouvelle de Tatsuki.
- … A quelle étage vous…vous trouver ?
- Vous devriez le savoir, c’est vous qui avez monter l’opération.
- Je…ne sais plus.
- Je ne peut pas vous le rappeler, vous m’en avez strictement interdit.
- Ne lancer…pas l’opération…enfuyez vous…
- …
- …
- Chef ?!…Mik !!!??? »
Le chef de l’escouade dit à Mik :
« Tu n’a plus besoin de sa je suppose, puisque tu est mort. »
Un des membres de l’escouade tire a bout portant sur Mik, le chef me brisa à main nue mettant fin a mon rôle de toki walki.